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Un cataplasme sur une jambe de bois
La Mairie a profité une nouvelle fois des vacances scolaires de Printemps pour installer en catimini des barrières rue Brébion, afin d'empêcher les véhicules des parents d'élèves de St Laurent de stationner.
Certes nous avions constaté des abus - véhicules obstruant complètement le trottoir -, certes les 3 riverains concernés de la rue Brébion vont respirer - la gêne n'était toutefois réelle que 2 fois par jour durant les heures de travail -, mais ne croyons surtout pas que ces barrières vont fluidifier la circulation.
Une fois encore le remède est pire que le mal, et la mairie sans aucune solution ne fait que déplacer le problème :
- Nous allons assister à un "jeté" et un "récupéré" d'enfants à la volée, portières ouvertes rue St Laurent et rue Brébion, qui auront pour effet de considérablement gêner la circulation, et de mettre encore plus les enfants en danger.
- Le stationnement sauvage s'est instantanément reporté dans les rues voisines : rue Macheret, rue Eugène Prévôt, avec des voitures garées devant des sorties de garage, sur les passages piétons, sur les trottoirs. Les riverains de ces 2 rues apprécient certainement !
- Encore plus irréel : des bouchons se créent dans le parking Macheret, complètement saturé aux heures de sortie scolaire !
Sur la photo ci-dessus on peut distinguer un parking complet, des voitures en double-file avec conducteur au volant attendant l'enfant, et des véhicules tentant de circuler dans les 2 sens...
Le parking Charpentier : pas mieux, lui aussi saturé par l'école Saint-Joseph. La sortie du parking est là-aussi cahotique :
Non vraiment, une superbe réussite !
La police municipale a été mandatée par la mairie pour faire le ménage Rue Brébion. Elle se voit de fait contrainte d'effectuer de nombreuses rondes pour verbaliser les véhicules à 11h30 et 16h30.
Elle est donc chargée dorénavant :
- d'ouvrir et fermer le terrain municipal de République pour que les pratiquants de la mosquée illégale puissent se garer (mais surtout sans mettre d'amendes),
- et de verbaliser les mères venant récupérer leurs enfants à l'école Saint-Laurent (une assistante maternelle avec 3 enfants à l'arrière du véhicule a échappé de peu à la contravention récemment)
Toutes nos félicitations Mme le Maire, quel courage dans vos prises de décision !
A quand une réelle solution sécurisée pour
cet ensemble scolaire ?
Circulez, il n'y a vraiment rien à voir !
Message initial
Dans un de nos tous premiers messages en Septembre dernier, nous évoquions la dangerosité de la dépose des enfants du collège St-Laurent.
Nous demandions à ce qu'un agent municipal soit réaffecté rue St-Laurent, afin de sécuriser au mieux la traversée des enfants.
Bien évidemment, ceci est resté un voeu pieux, mais pire, la Mairie n'a rien trouvé de mieux que d'installer des demi-boules (les mêmes que celles devant le domicile de notre ancien Maire) pour empêcher les voitures de se garer le temps de la dépose des enfants.
Que va-t'il se passer ? Les voitures vont s'arrêter sur la voirie pour faire descendre les enfants directement sur la route, bloquant ainsi la circulation.
Ecole privée ou publique, il en va de la sécurité des plus jeunes Mme le Maire...
Message initial
Des parents d'élèves du groupe scolaire Saint-Laurent nous alertent sur la problématique de la dépose sécurisée des enfants à l'école.
En effet,
- après la suppression en 2010 du passage piétons situé en face de l'entrée de l'école (rue Saint-laurent)
- après que l'agent municipal en charge du passage des enfants ait "disparu de la circulation" l'an dernier (alors que d'autres agents ont été maintenus pour les écoles publiques)
voilà que les polices municipale et nationale ont été mandatées au printemps dernier pour verbaliser les véhicules des parents stationnant rue Brébion, déposant ou récupérant leurs enfants.
Certes la circulation est cahotique rue Brébion aux heures de rentrée et sortie scolaire, certes les riverains sont en doit de se lasser de ce ballet de voitures, mais se pose la question de la sécurité des plus jeunes.
Il serait bienvenu que la direction de l'école et les services municipaux réfléchissent ensemble au problème.
La première étape consisterait logiquement à positionner de nouveau un agent municipal à la sortie de l'école.
A moins que le statut privé de l'école Saint-Laurent ne pose un problème ?
La rédaction
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